Blanquer nous ressort l’argument de la confiance. Il a de glorieux prédécesseurs : Jésus et Jean-Paul II entre autres. Je connais un établissement d’enseignement pour lequel le rectorat prévoit une augmentation de l’effectif d’élèves de 5% et une diminution des heures d’enseignement de 20%. Ne cherchez pas l’erreur : le ministre et la rectrice savent ce qu’ils font et l’enseignement privé a toute confiance en eux. GUY CURE